« Au commencement était le verbe » : Claude Duboscq citait souvent cette évangile et s’en inspirait pour l’appliquer à son art.
Dès l’âge de onze ans, Claude Duboscq met son talent musical au service de la poésie.
Tout d’abord, il écrit ses propres poèmes, puis, admiratif de Charles Baudelaire, il choisit ensuite des poèmes de ce dernier pour les fleurir de ses harmonies.
Enfin ses propres poésies rendues « totales » par cette union « des sons et des mots », à savoir le mariage de la parole et de la musique.
Ce vers quoi, il oriente désormais ses efforts : « La conquête du Ciel par les sons et les mots ».